A la saison froide, le bois se dévêtit. La forêt nue est frissonnante, et parfois, l'élégante éternue.
On ne peut rester indéfiniment insensible à la solitude étrange du lieu.
Comment ne pas sentir monter le désir irrépressible de se mêler au corps des feuilles mortes, de dépérir, de se décomposer, de disparaître dans les parfums de la terre ?
Wonderful!
RépondreSupprimerEn accord.
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