Si vous saviez, passants, attirés
Par d'autres regards charmants
Que le mien, que de feu j'ai brûlé,
Que de vie j'ai vécu pour rien,
Que d'ardeur, que de fougue donnée
Pour une ombre soudaine ou un bruit...
Et mon coeur, vainement enflammé,
Dépeuplé, retombant en cendres.
[...]
Kotebel, 17 mai 1913.
Bel écran solaire, chère Elly!
RépondreSupprimerMerci cher Stéphane !
SupprimerJ'aime beaucoup ces deux quatrains.
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