Douceur des paysages alanguis. Une sérénité pareille à celle que l'on rencontre sur les collines embrassant le Vercors, là-bas comme sur les pentes d'un petit village rêvant derrière ses vieux remparts. Et trinquer aux étoiles, à la vie, à ce qui tisse nos existences de félicité !
Difficile en effet !... Sans nul doute j'y reviendrai. Peut-être pas sur ce vallon là, mais en cette contrée où le mystère déroule ses paupières envoûtantes. Avec le fleuve métamorphosant un songe si délicats en naïade...
Beau poème-images pour le corps et son miroir-nature.
RépondreSupprimerUne inspiration, une expiration : c'est-à-dire une respiration qui se voudrait poétique.
SupprimerJ'ai l'impression que nous sommes dans des dispositions d'esprit pas très éloignées
RépondreSupprimerTu dois être relativement léger donc, en ce moment...
SupprimerDouceur des paysages alanguis.
RépondreSupprimerUne sérénité pareille à celle que l'on rencontre sur les collines embrassant le Vercors, là-bas comme sur les pentes d'un petit village rêvant derrière ses vieux remparts. Et trinquer aux étoiles, à la vie, à ce qui tisse nos existences de félicité !
Comment résister à ce charmant petit village situé hors du temps ?
SupprimerDifficile en effet !...
RépondreSupprimerSans nul doute j'y reviendrai. Peut-être pas sur ce vallon là, mais en cette contrée où le mystère déroule ses paupières envoûtantes. Avec le fleuve métamorphosant un songe si délicats en naïade...
(Même commentaire - sans coquille ^^)