Au bord des eaux troubles
Tout près des eaux dormantes
Là où les graminées aquatiques
Ondulent dans le vent
Comme des vagues imperceptibles
- comme des rondelles d'oignons -
Une rencontre cinématographique
un souvenir liquide
une empreinte dans l'air
une trace d'eau douce
Des images d'ô
Le long de l'Herbasse
Toutes les rivières mènent au Lac...
Et aux mots d'ô
... qui sait bien des histoires.
La vie réserve bien des surprises.
C'est toujours plaisant de te retrouver. J'aime beaucoup cette histoire en images. J'espère que tu vas bien et que la vie te réserve de belles surprises
RépondreSupprimerC'est toujours plaisant de te lire et j'espère que tu vas bien aussi.
SupprimerSi la vie réserve de belles surprises ? Espérons le.
Cheminer avec l'eau, je t'envie;
RépondreSupprimerUn jour Christine, ce serait bien de cheminer ensemble.
SupprimerElly--- High praise from my friend, Kwarkito. You have captured some nice thoughts with your pictures.
RépondreSupprimerMerci Bill !
SupprimerJe ne sais si "tous les chemins mènent au lac" mais cette belle méditation poétique fait remonter à la surface dormante les jours engloutis de l'amour.
RépondreSupprimerLe temps coule vers le lac, l'amour tombe dans le lac.
Peut-être pourrait-on dire que le lac est la tombe de l'amour. Ses bords sont hantés de formes blanches qui veulent dire ce qui est englouti.
Peut-être qu'aimer à nouveau serait enlacer le lac d'un lacet liquide.
Tous les chemins ne mènent au lac, c'est certain, ni les rivières d'ailleurs.
SupprimerSi l'amour se noie dans le lac ? Je ne sais pas, peut-être bien. En tout cas, les lacs sont hantés par des êtres aimés jadis, j'en connais quelques uns.
Le lacet liquide est une belle image : peut-être même préférer le lacet aérien (plutôt que la chaîne).
Je n'ai pas tout compris, chère Elly, mais dans ce mystère aquatique j'ai bien aimé les vagues de rondelles d'oignons ;-)
RépondreSupprimerPS : je te partage un secret que j'ai entendu près de la fontaine : " l'amour, c'est pas du pipeau !"
Bien à toi,