mercredi 5 septembre 2018

C'est toujours de l'exil

Même en terre d'exil, on demeure étranger.



6 commentaires:

  1. le texte est aussi émouvant que ce minuscule bout de jardin

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  2. C'est vrai, il n'y a jamais de monde commun. Des passerelles, tout au plus, entre nos jardins.

    Belle journée

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    1. Les ponts finissent par s'écrouler.
      Belle journée également,

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    2. Oui, mais nous sommes des équilibristes et nous aimons nos ruines.

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  3. Un colloque en quête de champignons de Septembre.
    Premier feu dans la cheminée,
    Le jardin pour mourir
    c'est comme le jardin pour vivre
    avec des fleurs autour
    et des légumes oubliés, retrouvés,
    imaginés...
    Et si l'exil était plus affaire de mère que de terre.

    L'étrange étranger nous appartient

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